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Comment bien choisir son assurance animaux ?
Une assurance santé pour qu’ils soient toujours de bon poil
En dix ans, les dépenses de santé pour animaux ont augmenté de 72%. Mais, seuls des 4% d’entre eux ont souscrit un contrat mutualiste pour protéger vos animaux de compagnie.Il existe pourtant de nombreuses formules d’assurances pour votre chien ou chat…
Choisir la bonne cotisation d’assurance
Pour 10€ par mois, on peut assurer son chien ou son chat. Mais à ce tarif de base, les risques couverts sont minimes. En moyenne, les factures de vétérinaires sont remboursées à 50%, avec une franchise de 50€/an, et un plafond de remboursement annuel fixé à 500€. Les frais de vaccins, de vermifuge et de stérilisation ne sont pas pris en compte. Et, généralement, les soins consécutifs à un accident (qui nécessitent des opérations) sont exclus.
A partir de 50€ par mois, il existe des formules très complètes : 100% des frais vétérinaires remboursés en cas de maladie et d’accident, jusqu’à 2500€ de plafond annuel, franchise limitée, coûts de vaccination et de stérilisation pris en charge à hauteur de 100€ par an, avec, en bonus, 200€ par an pour l’achat d’une « alimentation thérapeutique », afin que l’animal reste au mieux de sa forme.
L’âge de l’animal
Au moment de la souscription, les assureurs fixent une limite d’âge, par exemple 5 ans pour un chien. Le propriétaire doit donc lire attentivement son contrat d’assurance pour s’assurer qu’une fois cet âge limite atteint, les remboursements ne seront pas revus sévèrement à la baisse. Du moment que le chien n’avait pas 5 ans au moment de son affiliation, un assureur sérieux doit apporter les mêmes garanties lorsque l’animal aura basculé dans la « vieillesse ».
Attention aux « tares »
Les animaux peuvent souffrir de maladies caractéristiques de leur race. Le bouledogue connaît des problèmes de peau, le berger allemand est fragile de la hanche, le chat persan est sujet aux douleurs urinaires… Les propriétaires doivent vérifier que ces maladies ne sont pas considérées comme des « tares », exclues du contrat d’assurance. Il convient donc de privilégier un assureur qui lors de sa rédaction du contrat prend en compte la race de l’animal.
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